31 de março de 2013

À nouveau..


Un petit déjà-vu, ce n'est que la langue qui change..

Je retombe sur toi, encore un matin qui détruit toutes les certitudes d'hier soir. Je n’ai pas de forces pour te lâcher, même si j'aspire à le faire, c'est plus facile de te tenir que de te lâcher. Je deviens carrément masochiste, j'aime quelque chose qui me détruit, je l'aime sans l'aimer, car ce n'est pas de l'amour, ce n'est qu'une pulsion qui me détruit, qui crie ton nom, qui l'écrit sur tous les murs, qui me plonge dans une mer de désespoir lorsque le soleil s'éteint. Et tu reviens, et je vole, et j'oubli d'où je viens, qui je suis, et je cherche tes lèvres.
Quelle impasse destructrice, quelle impuissance, mais putain, quelle énergie...
Et tous mes défauts s'exposent, un à un, ils défilent devant toi et je désigne l'alcool comme excuse. Je suis folle...je pleure, car même en connaissant tes défauts, je les aime, et merde, je sais que tu n'es pas quelqu'un pour moi, mais comment te lâcher? C'est toi...
Il pleut dehors, où es-tu? À qui donnes-tu ton corps aujourd'hui? Tu es néfaste, tu es une pieuvre, avec tous ces tentacules auxquels se collent plusieurs êtres, et tu les manœuvres comme des marionnettes, et tu les maintiens proches, et un à un, tu les manges, et ils t'aiment, et ils se laissent aller, et j'attends patiemment mon tours, et je suffoque quand je te vois prendre un autre…



Au moins, tu me fais penser en français...

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